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Les effets observés sur les animaux sont les suivants :
L’insuline est une hormone secrétée par le pancréas qui permet au cellule d’utiliser le combustible le plus important qui est le glucose. (voir définition insuline)
Au fur et à mesure que nous vieillissons, les cellules ont tendances a devenir moins sensible à l’insuline. Cette perte de sensibilité conduit à des niveaux de glucose plus élevé que nécessaire dans le sang qui peuvent conduire a des diabètes de niveau 2 et même peut-être accélérer le vieillissement.
L’effet de la diète longue vie sur la sensibilité à l’insuline des animaux de laboratoire est actuellement l’un des plus documenté.Les données obtenues lors d’études chez les primates confirment les résultats précédemment obtenus pour les rongeurs. Dans l'étude de l’institut national sur le vieillissement (NIA) aux Etats-Unis, les singes suivant un régime de longue vie ont des niveaux d’insuline circulant dans le sang nettement inférieur à ceux des singes témoins. La mesure de l’insuline du sang est reconnue comme une excellente mesure de sensibilité à l'insuline. (plus nos cellules sont sensibles à l’insuline, moins notre le corps a besoin d’en sécréter dans le sang).
Actuellement il existe des études sur des courtes périodes qui ont mis en relief l’existence de ce mécanisme chez des humains ayant une surcharge pondérale.
Ce changement est directement lié à la plus grande sensibilité à l’insuline décrite ci-dessus.
Le glucose est le combustible utilisé par notre corps. C'est un produit chimique "énergétique" qui peut endommager ce qui entre en contact avec lui. En bref, le glucose superflu nuira inutilement aux molécules, aux cellules et aux tissus. Selon de nombreuses théories, ces dommages peuvent constituer une des causes principale du vieillissement. Ainsi, tous les tissus, du cerveau à la peau, tireront bénéfice d’un niveau plus bas en glucose :L’idéal étant un niveau juste suffisant au besoin du corps.
L’ADN est une molécule extrêmement longue, imbriquée et fragile qui constitue l’empreinte génétique. Les informations contenues dans l’ADN déterminent la plupart des caractéristiques biologiques d’un être à l’âge adulte, mais aussi elles guident les processus de maintenance et de réparation qui se déroulent pendant les nombreuses d’années de la vie d’adulte. Comme nous vieillissons, notre ADN se dégrade lui-aussi, et seulement une partie des dommages subis sont réparés. Cette dégradation de l’ADN lente et progressive dégrade les fonctionnalités du corps à tous les niveaux : aux niveaux cellulaires, organiques, et enfin au niveau de l’individu.
Sous le régime de longue vie, les oncogènes, gènes qui aboutissent à une prolifération anarchique de cellules, soient moins souvent activés. Cette réduction des risques de cancer par le régime de longue vie a été mise en évidence chez les humains. Il a été aussi mis en évidence qu’une réduction de l’alimentation faite de manière indifférenciés (FR) réduisait aussi le risque de cancer.
L’activité sexuelle des animaux de laboratoire sous un régime de longue vie sévère décroît s’il est entrepris dans les jeunes années. Ce résultat est cohérent avec les théories tentant à expliquer les raisons profondes de ces mécanismes : les ressources de l’être humain sont proposées en priorité aux systèmes de réparations et de maintenance au lieu de l’être au système de reproduction et de croissances. Mais pour les animaux sous de même régime, l’activité sexuelle ne décroît pas avec l’âge à la même vitesse que dans les groupes témoins.
Comme le note le Professeur Walforddans son livre « Maximum LifeSpan » des études montrent, que des animaux de laboratoire sous le régime de longue vie, non seulement ont des rapports sexuels, mais encore montrent un intérêt pour le sex bien après que tous les individus du groupe témoins soient morts, mais de plus sont ils alors encore en mesure de donner naissance à une progéniture en pleine santé.
C’est une bonne nouvelle pour ceux qui craignent attaques et|ou embolies et c’est un effet qui est directement mesurable que celui de la baisse de la pression sanguine. Les résultat obtenue dans ce secteur sont encourageants.
L’arthrite n’est pas à proprement parler une menace pour la vie, du moins pour des individus au milieu de leur vie, mais cependant il est extrêmement pénible et incapacitant. Qui n’a pas entendu parler de musiciens ou d’artistes qui dans leur quarantaine seulement ou dans la cinquantaine ont du arrêter la pratique de leur art à cause de leur conditions. Dans les laboratoires, il a été observé que la diète de longue vie retardait considérablement le début de l’arthrite.
C’est une conclusion de laboratoire et peut-être la plus importante à garder à l’esprit aux personnes pour lesquelles au prolongement de la vie fait écho un prolongement de la vieillesse (a quoi peut bien servir de rajouter des années de vie en mauvaise santé ?)
En effet, on a pu observer en laboratoire, que des souris, qui rapporté en années humaines auraient plus de cent ans, se dirigent dans des labyrinthes avec la même habileté à résoudre les problèmes que des jeunes souris. Ces observations ont été faites dans de nombreuses études. La capacité de la diète de longue vie à maintenir jeune les fonctions intellectuelles est le résultat d’un effet déjà discuté auparavant : c’est parce qu’il favorise le renforcement et la réparation des cellules du corps en général que le régime de longue vie prévient la mort des cellules cérébrales se produisant normalement avec l’âge.
Le problème c’est qu’ici on parle de réduction, amélioration, diminution tout un ensemble de terme qui font référence à un référentiel .Ce référentiel est mesurable avant la diète de longue vie mais après cette première étape, il n’existe plus de moyen pour comparer les progrès réalisés.
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