Texte à méditer :  A vaincre sans panache, on triomphe sans gloire.  - parodie - Corneille (le cid)
 
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CHAPITRE VI

Sur cette planète hostile, naissait d'un coup de baguette magique imaginaire une activité effervescente. Des hommes ou du moins des humanoïdes,  allaient en scaphandre, s'affairaient autour d'une fusée, simple a en croire sa forme.

Sur tous les visages on apercevait une certaine joie, sur des visages .... Des visages sur lesquelles étaient gravés les traits de la tristesse, de la tristesse profonde et aussi la peur, mais pas n'importe quelle peur, une peur maîtrisée, la peur de la fin. Maintenant cette tristesse et cette peur avaient laissé place à un espoir: une fusée.

Des câbles sortaient d'un gouffre et allant à leur extrémité enrouler la fusée. Lentement,  très lentement ces filins d'un métal très pur se déroulaient après être sorti du néant... d'un grand trou béant laissant apercevoir un gouffre sombre et noir. Les hommes qui en sortaient faisaient des gestes gracieux et doux.

On aurait pu apercevoir une certaine délicatesse, du fait de leur joie immense, qui se manifestait par ces attitudes pleine de douceur, pleine d'amour envers la chose étincelante qui glissant au dessus du sol rugueux s'approchait du gouffre. Comme dans un rêve, tout redevint noir, s'éclipsa.....Le réveil approche. Il fait lourd, et puis, j'ai mal... Tout mon corps me fait souffrir. Je bouge encore inconscient, une douleur vive me fait frémir. D'un coup tout me revient, cette planète avec sa race d'humanoïdes, obligée de vivre sous terre... ce rêve. Je m'aperçois étonné que je bouge de droite à gauche dans mon lit, le vaisseau roule doucement. J'appelle... rien ne me répond. Tout me paraît obscur et par ce rapport je remarque que l'éclairage est faible.... Le groupe de secours!

Je défais les sangles me retenant au lit. Je mets un pieds à terre. Ah! Maudit roulis maugréais-je  entre mes dents.

J'ai mal, je roule sur mon corps meurtri d'un coté à l'autre de la salle.

Tout à coup toute la salle est éclairée, la lumière est aveuglante. Je ferme les yeux et .... les rouvrant petit à petit je vois des silhouettes se préciser là, près de moi ..... Près du lit. Des hommes en scaphandres sont là....j'étouffe...j'appelle....Blanton! ...Blanton! Un homme s'approche .... Aussitôt le roulis reprend de plus belle...Je veux fuir ce monde...J'étais si bien...seul. J'essaye de me délivrer de ce cauchemar, je me débat de toutes mes forces....Un calme....Je pense ... Je me concentre et soudain... le voile se déchire. Je vois Blanton, le visage froid et autour de lui  des hommes... que je ne connais pas.

- Enfin t'es là? Dis-je. Comment ça se passe à bord?

- Très bien ....depuis le temps que tu dors il aurait pu nous arriver beaucoup plus de malheur et continuant sur un ton blasé, il me comte les événements tel qu'ils ce sont passés... Et il me présente ces hommes qui d'après ma mémoire n'étaient pas de l'expédition.

Tout concorde avec ... ce que j'avais vu. Cette planète ... ces hommes...

Blanton ne laisse pas le temps de réfléchir et suivit des indigènes de cette planète me donne expressément des instructions.

Je devrais me rendre d'après celles-ci dans le sas et suivre un indigène qui me conduirait jusqu'au palais du souverain  de cette planète. On devait là-bas parlementer avec les autorités ...

Rapidement je me lève et je passe ma combinaison de sortie, sans oublier de prendre mes armes .... Au cas où! Ainsi prêt, je me dirige vers le sas.

Un quart d'heure plus tard, j'entre précédé de l'indigène dans une immense cuvette souterraine arrosée d'un fleuve. Des maisons d'une architecture surprenante s'étale le long du cours d'eau. Je m'approche de mon guide et l'interpelle pensant qu'il connaît peut-être ma langue maternelle. Je lui demande phrase stupide et peu spirituelle:

- Parlez vous le français?

- Oui très bien.

Et aussitôt j'engage une conversation de tous les jours, On parle pour ne rien dire, puis je l'entretiens sur l'architecture et les obligations de chacun des citoyens de cette planète et aussi du pourquoi de cette aventure. Je lui parle de la terre et m'instruit sur son monde.

J'en ai retenu que quelques choses d'absolument fondamental: cette planète n'avait plus de ressource minière, elle ne pouvait pus u du moins presque plus vivre car son soleil devenait peu  à  peu froid et leur réserve d'énergie ne pouvait plus dans un avenir très proche maintenir en vie tous ces hommes, cette flore et cette faune déjà a présent très réduite. Il leur fallait trouver un moyen de survivre et ce moyen était la fusée. Seulement  une fusée d'autres créatures de type humanoïdes. Ceci seul pouvait les aider à fuir cette planète maudite.

Avec tous ces renseignements j'entrais après une longue marche à pied.

 (Faute d'autres énergie que l'énergie humaine) dans un bureau où se tiennent en table ronde une dizaine de savants, chefs de gouvernement de cette planète.

A mon entré, tous les occupants de la pièce se lèvent. Une femme que je suppose présidente me prie de m'asseoir et une discussion ou plutôt une conférence commence.

*********

Et l'esprit s'envola. L'étoile brilla et tout les souvenirs affluèrent pèle mêle dans l'esprit. La matière céda à l'assaut des forces célestes, c'est alors que tout craqua, se brisa. Devant lui régna l vide complet. Plus personne n'était là seul peut-être le néant, l'immensité noir c'est alors que la voix lui parla déchirant le noir, le vide, faisant naître une infinité de parcelles colorées. Et la, il se réveilla voyant l'atroce vérité, l'incroyable pensée, la chose s'enfler, grandir et atteindre les proportions énormes de la peur. L'assemblée se disloqua, éclata en mille fragment rendant invisible la forme qui régnait là quelque secondes plus tôt, en maître.

*********

De tout coté couraient affolés, des hommes. L'incompréhensible avait eut lieu, l'incroyable venait de se produire. Il ne restait plus sur cette planète que des hommes perdus devant  les mines d'une ancienne cité disparu depuis des millénaire: l'hallucination c'était dissipé. Et c'est dans des cas semblables que mon esprit, très lent par habitude, accélérait les processus subtils qui faisaient de moi un être humain.

- Devant moi le paysage lugubre ne parvenait à obscurcir mes pensées et sentant l'ombre d'un désastre je couru de la force accru de mes jambes supprimer le coupable.

Soudain, le souffle court, je percutais un mur.


Date de création : 22/11/2016 @ 01:28
Catégorie : Prose - Rêves d'enfant
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